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Les 23e Rencontres Internationales de Théâtre en Corse

Quand :
17 juillet 2021 – 14 août 2021 Jour entier
2021-07-17T00:00:00+02:00
2021-08-15T00:00:00+02:00
Où :
A Stazzona
20259 PIOGGIOLA
Coût :
475,00
Contact :
04 95 61 93 18

Dirigé par Serge Nicolaï

entouré d’ Adeline Guillot, Olivier Letellier, Marie PayenFrançois Rancillac

Téléchargez le programme

Informations pédagogiques

Ce programme comprend plusieurs ateliers : des ateliers d’exercice le matin et des ateliers de réalisation l’après-midi.

Ces ateliers réalisés au sein des Rencontres Internationales de Théâtre en Corse, en pleine nature, permettent d’explorer en immersion les techniques d’un théâtre au grand air, de confronter les œuvres travaillées à une scénographie puissante, le décor naturel des montagnes et des forêts de la vallée du Giussani. Au cours des quatre semaines de la formation, le stage va à la rencontre du public tout au long des phases d’élaboration du travail dans une démarche d’échange et d’éducation populaire (contact avec le territoire, ses habitants, ses coutumes et sa culture).

Objectifs pédagogiques

  • Travailler plusieurs auteurs (classiques et contemporains)
  • Appréhender différentes techniques de jeu et différents registres et styles théâtraux
  • Maîtriser plusieurs techniques de l’art dramatique et examiner leur mise en pratique à des fins d’éducation populaire
  • Explorer en immersion les techniques d’un théâtre au grand air, confronter les œuvres travaillées à une scénographie en milieu naturel
  • Maîtriser le jeu en extérieur et être capable de jouer dans toutes les conditions
  • Construire une progression pédagogique dans le but d’une transmission
  • Acquérir les outils de l’encadrement d’un atelier de réalisation théâtrale
  • Devenir une personne ressource dans le champ de l’Education Populaire

Méthodologie

La méthode pédagogique qui sous-tend tout le stage est fondée sur l’exigence et la bienveillance et tend à amener les stagiaires comédiens à la simplicité d’interprétation. Ne pas rechercher l’efficacité mais prendre le temps de s’imprégner.

Cette démarche pédagogique s’inscrit dans un contexte de formation unique en son genre : entreprendre un stage de plusieurs semaines pendant les Rencontres Internationales de Théâtre de L’Aria, c’est se former tout en participant à une aventure théâtrale, d’éducation populaire et artistique ouverte à tous, (professionnels du spectacle mais aussi amateurs, enseignants, éducateurs, animateurs, comédiens étrangers). C’est une aventure riche et unique pour les uns et pour les autres car elle place chaque stagiaire au centre d’un projet commun plein d’exigence.

La force de ce stage vient aussi de la multiplicité des intervenants venus d’horizons théâtraux, multiples, exigeants et proposant une diversité de genres et d’esthétique qui se confrontent et se mêlent.

Ce stage propose un cadre exceptionnel pour la pratique du théâtre de plein air, en plein Parc Régional Naturel de Corse, dans une petite vallée de montagne, parmi des châtaigniers centenaires, sur des places de village, dans des jardins, au pied d’un lavoir, devant une église. Ici le théâtre se fabrique en milieu naturel.

Ressources mises à disposition des stagiaires

Le stage dispose de l’ensemble de l’outil théâtral A Stazzona pour les ateliers d’exercices techniques. Les ateliers de réalisation débouchant sur une finalisation bénéficient d’un apport technique (lumière, son, décors et costumes) conséquent.

Les ateliers de réalisation 

Où les mots se disent d’après Lettres non-écrites de David Geselson dirigé par Adeline Guillot

La nécessité de dire

« Si vous avez un jour voulu écrire une lettre à quelqu’un sans jamais le faire, parce que vous n’avez pas osé, pas su, pas pu ou pas réussi à aller jusqu’au bout, racontez la moi et je l’écris pour vous. »

C’est de cette expérience proposée aux spectateurs de Paris, Lorient, Orléans, Toulouse, Arles ou encore New York que sont nées les 48 lettres non-écrites de David Geselson.

Pour ce travail ensemble, je souhaite plusieurs points de départ : tout d’abord vous, les acteurs, stagiaires, vos sensibilités, vos envies de dire, vos imaginaires, vos voix, vos souvenirs, vos histoires. Ensuite, les Lettres non-écrites et les personnages que nous pourrons faire naître de leurs mots, ces mots qui donnent à entendre après avoir été longtemps enfouis, enfermés, oubliés ou rejetés. Il y a Farid un fils, Astrid qui tente de parler à son nouvel amour alors que la langue les sépare, Vincent qui écrit à Caroline, rencontrée il y a deux mois sur Tinder, Minia à sa mère, Hélène à son père, Lucie à Laurent son amour d’enfance, un homme danseur à sa mère, Maral à sa grand-mère en Mongolie et tant d’autres… Et enfin la musique, les chansons d’amour, les chansons de joie, des chansons comme un cri.

On demande parfois aux acteurs d’être pluridisciplinaire, de pouvoir chanter, danser en plus de jouer. Certains se disent que c’est impossible. Ce sont ces voix, les voix fébriles ou trop puissantes qui m’intéressent car ces fragilités peuvent servir l’interprétation. On a tous une chanson qui nous fait pleurer, celle qui nous donne de l’énergie le matin et sur laquelle on ne peut pas s’empêcher de danser, celle qu’on connait par cœur et qu’on rêve de chanter. Apportez-les et nous les associerons aux lettres qui disent pour la première fois.

Nous partirons d’un travail autour du monologue intérieur, cette voix intime qui se pense mais ne se dit pas pour aller vers ces lettres qui elles aussi ont été pensées mais non-écrites, non-dites. Mettre en perspective le monologue intérieur de l’acteur et les Lettres non-écrites.

L’imaginaire de l’acteur au service des mots d’un auteur, au service d’histoires qui ont été pensées si fort qu’elles n’ont pu trouver leurs mots que par la voix d’un auteur. Ensemble, nous les ferons exister par vos voix parlées, chantées.

J’imagine le dispositif comme un cabaret, un cabaret épistolaire de cette nécessité de dire, de chanter.

Porter cette nécessité, ces émotions au plateau et en chanson.

Les règles du jeu de Yann Verburgh dirigé par Olivier Letellier

Sur les ruines du pays des guerres, deux enfants, Nama et Oldo se rencontrent. L’un attend son père soldat et l’autre un départ prochain pour les états de paix. Au lendemain de la dernière des guerres, ils s’apprivoisent, se retrouvent jour après jour, rêvent la reconstruction de leur ville comme un jeu d’enfants… Tout devient possible… jusqu’à se parler à travers les étoiles.

Le temps de formation s’articulera autour du texte contemporain de Yann Verburgh LES RÈGLES DU JEU, édité aux solitaires intempestifs. Sa poésie nous plonge dans un récit de tout temps, une fable moderne où l’imaginaire nous porte à espérer en la beauté du monde. L’humour des regards à hauteur d’enfance éclaire la violence des adultes.

La lumière ouvre le récit, puis les conteurs font naître les personnages. Ils les portent les uns après les autres, dessinent des espaces de connivence avec le public et nous embarquent dans l’histoire.

L’objet sera symbole du lieu ou de l’action, détourné de son sens premier pour devenir théâtre d’images.

Je veux démultiplier le duo de personnages, pour que la parole de ces enfants devienne celle de tous, que les images de leur histoire se fassent l’écho du monde d’aujourd’hui. En affirmant les différences de sexes et d’âges des comédiens de l’aria, l’universalité du récit sera renforcée. Les corps en jeu feront chœur au cœur du Giussani.

Le Malade imaginaire de Molière dirigé par Marie Payen

Un homme se croit malade. Tellement malade qu’il est prêt au sacrifice de l’amour. Tellement effrayé par l’idée de la mort qu’il choisit de s’adonner complètement à cette terreur, lui donnant tout, jusqu’à sa propre fille. Aujourd’hui, ça nous parle, non ?

Et puis il y a Molière ! Génie comique que ma génération a lu dès le collège (nous avons pour beaucoup découvert le théâtre à la faveur d’une représentation du Malade imaginaire ou des Fourberies de Scapin), Molière incarne à mes yeux la joie d’être sur scène, le théâtre comme fête critique du genre humain et de la société, le déploiement de toutes les formes du rire à travers le geste, la parole, les situations.

Il me semble qu’à tout âge, et quel que soit le niveau de pratique théâtrale qu’on ait engrangé, on peut travailler et trouver son évidence dans le Malade imaginaire. Les rudiments du théâtre peuvent suffire. Un lit, une chaise, une coulisse, un chapeau… Le plus important, je crois, serait que nous tentions ensemble de prêter notre humanité, avec toute la candeur du monde, à ces personnages que Molière sonde, à ces mœurs qu’il met au jour, à ces faiblesses qu’il dévoile…

Nous le ferions avec rigueur, mais sans nous prendre au sérieux. Nous le ferions en poètes, c’est-à-dire en liberté, en nous régalant des paradoxes qui trouvent gîte dans nos esprits et dans nos corps de comédien.ne.s et d’humain.e.s.

Sans chercher à le « moderniser ». En lui faisant entièrement confiance pour ce qui est des résonnances…

Voilà le rêve que je propose de partager.

Une commune (épopée ouvrière) de Guillaume Cayet dirigé par François Rancillac

Il est loin le temps où la mine faisait vivre la commune… Aujourd’hui, il ne reste plus que quelques familles qui survivent dans une ville fantôme, avec des parents chômeurs, des enfants borderline, des anciens désenchantés. Mais soudain M. Vivien réapparaît : dauphin de l’ancien patron de la mine, il revient exploiter le gaz de schiste qui gît à foison sous les champs et les collines de la commune ! Une bénédiction pour celles et ceux qui rêvent d’un emploi et de meilleures conditions de vie ; mais c’est surtout pour d’autres une épouvantable catastrophe écologique annoncée ! Branle-bas de combat dans la commune : tandis que M. Vivien marchande et manœuvre en coulisse sans aucun scrupule pour acheter les consciences, des habitants réapprennent à se prendre en main, à réfléchir ensemble pour se battre et sauver ce qui appartient encore à la communauté humaine : la Nature. Surgiront à leur rescousse des revenants, des zombies et un cadavre très encombrant…

Guillaume Cayet aime autant le théâtre qu’il aime raconter, réinventer les histoires de celles et ceux qui n’ont pas souvent droit à la parole sur scène : les paysans, les ouvriers, les chômeurs, les enfants, les « étrangers ». Cette « mine théâtrale » qu’est Une commune (avec allusion directe à la Commune de 1871…) est à la fois un hymne à la dignité recouvrée, au rêve d’autres alternatives que le seul rouleau compresseur néolibéral, et une formidable épopée théâtrale drôle, surprenante, carnavalesque parfois, où les cadavres sortent des placards, où les paroles fusent et claquent pour donner à voir et à penser une liberté à reconquérir.

L’enjeu du travail tournera sur l’énergie d’une « troupe » porteuse du spectacle : où chacun est responsable du tout, de tout (jeu mais aussi changement des espaces, des lumières, des costumes…), et où les personnages peuvent circuler d’un.e acteur/trice à l’autre. Une commune est un théâtre épique, « brechtien », où la représentation en train de se faire est sans cesse avouée, évinçant tout « réalisme » – ce qui n’enlève rien à l’engagement, à la sincérité du jeu. La dimension chorale du texte sera aussi un axe de travail : rythme, musicalité de la langue qu’il faudra parfois « orchestrer » (certains dialogues sont simultanés ou entrecroisés ou traités comme des brouhahas de foule). Une commune est autant une partition qu’une magnifique machine à jouer ensemble pour inventer d’autres vivre-ensemble…

Les ateliers d’exercice

Monologue intérieur, la voix de l’intime dirigé par Adeline Guillot

« Le monologue intérieur est le flux du temps en moi, le flux de l’instant qui passe maintenant, avec tout ce que je ressens en cet instant, il est même cent fois plus riche, plus vaste et mystérieux, plus insaisissable que ma pensée présente, ou même que le flux mêlé par tous les chemins possibles mes pensées à un moment donné, ou à tous niveaux accessibles à un moment donné » Krystian Lupa

Ecouter ses pensées.

A travers des exercices d’écriture du monologue intérieur, nous irons à la découverte de nos pensées, de cette voix intérieure omniprésente. On demande parfois aux enfants de «jouer dans leur tête » car ces pensées peuvent être assourdissantes pour les adultes que nous devenons. Ceux qu’on nomme «les fous » laissent aussi jaillir ces phrases, ces onomatopées. Comment « ça parle » à l’intérieur? Quelle est ma grammaire intérieure?

Ecouter ensuite les pensées du personnage.

Nourrir le personnage, lui créer un paysage puissant en amont et dans la prise de parole.

Développer son imaginaire.

Nous travaillerons en parallèle sur la voix chantée, le souffle, l’émotion par l’interprétation d’une chanson. A cappella ou avec un accompagnement, comment interpréter une chanson sur scène? A partir de vos voix, de vos sensibilités, comment donner à entendre.  Comment faire passer une émotion à travers le chant au plateau.

Improviser dirigé par Marie Payen

L’improvisation, c’est l’art d’écouter.

L’art d’être libre.

Ne jamais cesser de penser, de regarder, de sentir mille millions de choses vivantes, tout en jouant. Ne jamais « exécuter », ne jamais faire semblant d’être ce qu’on n’est pas.

Improviser, c’est l’art de ne pas être autoritaire avec soi-même ni avec l’autre, ni avec le texte, ni l’espace, ni le temps.

C’est un art très exigeant, mais à la portée de tous.

Car on n’est jamais deux jours de suite exactement le.la même, improviser c’est être avec soi-même et avec les partenaires, le texte, l’espace et le temps comme un aventurier sur une terre inconnue. Découvrir, déchiffrer, se fondre dans, se faire tout.e petit.e, puis très grand.e, apprendre, prendre des risques.

C’est ce travail que je voudrais tenter de transmettre. Par des exercices ou des jeux physiques, vocaux, et de situation, seul.e ou à plusieurs, et par le travail d’écoute et de relation à soi et aux autres, à travers des bouts de texte ou de la parole libre, parvenir à identifier ses appuis, à reconnaître des chemins, à atteindre un état propice à l’invention.

L’amour en douze pieds dirigé par François Rancillac

A partir de « La forêt mouillée », pièce courte et savoureuse de Victor Hugo (incluse dans son « Théâtre en liberté »), les comédien.ne.s pourront toucher à la langue incroyable d’humour d’un Hugo à la fois coquin et philosophe : tandis qu’un jeune poète chante l’amour platonique, au-dessus et au-dessous de lui les fleurs, les insectes, les oiseaux autour de lui butinent, gazouillent et copulent à tout-va ! Mais soudain il tombe nez-à-nez sur deux délicieuses demoiselles en train de faire leur toilette dans la rivière…

Le génial Hugo, à l’œuvre immense et multiforme, s’amuse ici à mettre cul par-dessus tête l’idéalisme (qu’il soit philosophique, poétique ou religieux) en redonnant ses pleins droits à la vie, au désir, à la chair…

Il s’agira d’abord de se familiariser avec les quelques règles nécessaires pour faire siennes les contraintes poétiques de l’alexandrin et en faire un terrain de jeu – car plus la contrainte est forte, plus elle est assumée, et plus la liberté est grande, surtout avec un tel texte survitaminé et truculent : alternance des rimes, hémistiches, liaisons, respect de l’unité de l’alexandrin, etc. seront éprouvés à travers des exercices de lecture en acte : car c’est dans le jeu, dans l’invention de la situation, de la relation de parole de personnage à personnage que le vers hugolien trouve toute sa saveur, sa force et son impertinence.

Théâtre de récit mis en corps dirigé par Olivier Letellier

Plonger dans l’univers de la narration, dans le mélange des temporalités, des espaces qui se croisent et se superposent. Multiplier les points de vue pour donner corps et relief au récit. Jouer à passer du il au je. Engager le corps en jeu, le corps castelet, vecteur de l’émotion, images du personnage, supports de la narration et des imaginaires, évocateur de mémoire, métaphores puissantes, univers singuliers, miroirs des inconscients collectifs… En s’appuyant sur de courts textes du théâtre contemporain pour adolescents, nous jouerons à faire jaillir des images, questionneront le rapport à l’espace du chœur, aux narrations plurielles, croisées et superposées, expérimenterons les différents statuts du conteur et la relation unique qui le lie aux publics.

Dates et durée

Dates : Du 17/07/2021 au 14/08/2021

Durée totale du stage : 168 heures | 28 jours (3 jours d’interruption)

Programme du stage

Journée type de la 1ère semaine

  • 7h30-8h30  Petit déjeuner
  • 8h45-9h30  Echauffement corporel et vocal
  • 10h-11h30  Ateliers d’exercices
  • 12h-13h30  Déjeuner
  • 14h-17h30  Ateliers d’exercices
  • 19h-20h30  Dîner
  • 21h-22h30  Ateliers d’exercices

A partir du vendredi et pour la deuxième et troisième semaine

Les après-midis et les soirées sont consacrés aux « Ateliers de réalisation » pour les répétitions, les matins restant réservés aux « Ateliers d’exercices ».

Quatrième semaine :

La dernière semaine, présentation au public des spectacles issus des « Ateliers de réalisation ». La journée du samedi sera consacrée à une journée de bilan

 

En fin de stage, vous recevrez l’attestation de fin de stage.

Profil des stagiaires

Stage ouvert à tous : artistes interprètes, comédiens, metteurs en scène, enseignants, animateurs, personnels de soin, professionnels, amateurs…

Prérequis et expérience des stagiaires

Aucun prérequis

Les dossiers d’inscription sont soumis à l’approbation du Directeur pédagogique et artistique.

Tarif individuel :  1 675 € ; sont compris dans le prix : formation, hébergement et la restauration

Tarif -25 ans : 1 475 € ; sont compris dans le prix : formation, hébergement et la restauration

Cotisation 25€ à l’Aria en sus

Pour une prise en charge par votre OPCO (AFDAS, Pôle Emploi ou autre), nous contacter : accueil@ariacorse.net 

L’Aria accepte les chèques vacances ANCV pour le règlement de votre inscription

Date limite d’inscription : Jeudi 1er juillet 2021

Adresser le bulletin d’inscription à accueil@ariacorse.net ou à

  • L’Aria
  • A Stazzona
  • 20259 PIOGGIOLA

Pour tout renseignement : 04.95.61.93.18

Si vous présentez un handicap, une déficience ou une limitation, merci de le préciser au 04.95.61.93.18 ou par mail à accueil@ariacorse.net lors de votre inscription afin de nous permettre de préparer au mieux votre venue.

Adresse

  • L’Aria
  • A Stazzona
  • 20259 PIOGGIOLA                                               Voir sur la carte

Hébergement et restauration

L’hébergement et la restauration ont lieu dans l’imposant bâtiment Battaglini, qui a été construit en 1902 grâce au don d’un habitant d’Olmi-Cappella ayant fait fortune en Égypte.

L’Établissement Battaglini est un lieu de vie situé au cœur du village. Il comprend des chambrées de 4 à 8 places pour un total de 70 couchages, équipées de douches et WC, une salle d’activité, une salle de restauration.

Transports

Comment venir ?

Les ports et aéroports les plus proches sont :

  • Ports de l’Ile-Rousse et de Bastia (depuis Nice, Marseille, Toulon ou l’Italie) ;
  • Aéroports de Calvi ou de Bastia.

Venir en voiture

En venant de Calvi : prendre la direction d’Ile Rousse. A la sortie de Lumio prendre à droite direction Belgodère, suivre direction Speloncato, entrée de Speloncato suivre la direction Pioggiola, Olmi Cappella.

En venant d’Ile Rousse : prendre direction Belgodère, puis suivre la direction Olmi Cappella.

En venant de Bastia ou d’Ajaccio : prendre direction Calvi, Ponte-Leccia. Au rond-point de Ponte-Leccia suivre direction Calvi, sur 5,5 km, après le restaurant « chez Dédé » prendre la première à gauche puis à 500m ne pas continuer sur la RT301 mais tourner à gauche sur la D547 continuer sur 5,5 km, prendre à droite en descendant (D547) passer par le « Hameau d’e Piane » sur 9,4 km (15minutes) prendre à gauche la D963 et continuer sur 7,8 km en direction d’Olmi-Cappella.

Bonne route !

Sur place

Services

  • La Poste (retrait d’argent possible avec CB moyennant des frais bancaires). Attention, il n’y a aucun distributeur d’argent dans la vallée du Giussani et certains commerces ne prennent pas la CB.
  • Une épicerie-tabac (paiement par CB acceptée)
  • Un bar, six restaurants dispersés dans la vallée
  • Un terrain de sport

Équipements publics

A votre disposition : une médiathèque, un Espace Public Numérique, une salle de vie et de travail, un réfectoire, une régie, une buanderie.

Météo

La vallée du Giussani est en moyenne montagne : nous sommes à 800 mètres d’altitude. Il peut faire très chaud comme froid et la météo est particulièrement changeante. Pensez donc à vous équiper de vêtements chauds et de bonnes chaussures.

Galerie photos

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